Et pourquoi donc que j'irais pêcher une bête qui ne m'a rien fait?
13.11.08
des cailloux pour Kozlika
Bon anniversaire, belle Dame. Quelle heureuse rencontre, ces petits cailloux et quel bonheur, ce rappel que l'amitié peut vous saisir aussi simplement qu'une pomme sur une branche. Je t'embrasse.
Je suis enragée, j'ai ces derniers jours le temps de rien. J'ose à peine le dire mais c'est parce que je ne peux plus me connecter sur le temps de travail (chut, c'est un secret, PERSONNE ne va jamais sur le web sur son temps de travail, surtout pas moi hein).
Alors j'avais ouvert ton billet dans un onglet de mon navigateur, parce que comme ça quand je rouvre le capot je vois ton sourire. Et crois-moi ça fait chaud !
Parfois je me dis qu'il est déraisonnable de vouloir continuer à bloguer compte tenu du peu de temps dont je dispose. Mais cette déraison est en fait tout ce qu'il y a de plus censé. Me priver de rencontres comme ça, comme la nôtre, qui n'aurait su se faire sans les blogs ? JAMAIS !
PS à celles zou ceux qui voudraient des photos en haute def, y a qu'à demander sur le mémail à mémère et prier sainte Procrastination pour qu'elle prenne des vacances.
8 commentaires:
Ouahhh elle est magnifique cette photo !
la photo est belle mais ce que tu écrit aussi est très beau...
L'amitié. Marquée de petites pierres blanches. On se demande bien à qui peut venir l'idée de jeter la première.
La simplicité et l'évidence de certains coups de coeur sont une raison de vivre à elles seules, il me semble.
Joli message que tu lui adresses et quelle SUPERBE photo !
Parfois on offre des fleurs mais les cailloux c'est plus durable ! bravo
Je suis enragée, j'ai ces derniers jours le temps de rien. J'ose à peine le dire mais c'est parce que je ne peux plus me connecter sur le temps de travail (chut, c'est un secret, PERSONNE ne va jamais sur le web sur son temps de travail, surtout pas moi hein).
Alors j'avais ouvert ton billet dans un onglet de mon navigateur, parce que comme ça quand je rouvre le capot je vois ton sourire. Et crois-moi ça fait chaud !
Parfois je me dis qu'il est déraisonnable de vouloir continuer à bloguer compte tenu du peu de temps dont je dispose. Mais cette déraison est en fait tout ce qu'il y a de plus censé. Me priver de rencontres comme ça, comme la nôtre, qui n'aurait su se faire sans les blogs ? JAMAIS !
Baisers salés, gente dame.
Abé voilà: tous coupables de réchauffement climatique de la blogosphère!
PS à celles zou ceux qui voudraient des photos en haute def, y a qu'à demander sur le mémail à mémère et prier sainte Procrastination pour qu'elle prenne des vacances.
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