7.12.08

D'autres questions qui n'appellent pas réponse...


Il y a deux sortes de bonnes journées. Celles pendant lesquelles on fait tout ce qu'on a faire. Et celles où l'on finit par se dire qu'elles ont tellement démarrées dans la flemme que la seule façon d'en faire des journées parfaites, c'est de ne vraiment rien faire jusqu'au bout.
Donc une journée consacrée à me demander :
  1. -si la quantité de fromage à tartiner dans une portion individuelle est calculée en fonction de la surface d'une biscotte, ou si c'est le contraire.
  2. -si je suis la seule à éprouver une profonde jouissance, l'ivresse d'un pouvoir élémentaire et grandiose parce que j'ai maintenu, puis réanimé un feu particulièrement mal-né, en refusant absolument de voir que le temps passé à souffler, ajuster la brindilles, titiller la maigre braise aurait été plus utilement consacré à le démolir pour le reconstruire.

11 commentaires:

Anonyme a dit…

Oh pour le feu je suis exactement complètement pareille. Je suis d'une fierté incommensurable de savoir allumer et entretenir un feu !

Anonyme a dit…

je croyais être le seul à ne pas... signé BP ou PB

Anonyme a dit…

Pourquoi s'obstiner à vouloir se chauffer au fromage à tartiner ?

Anonyme a dit…

Il faisait beau à la Torche !

meerkat a dit…

Et tu ne te demandes pas qui est ce dingue aimant torturer les pauvres affamés qui a inventé l'espèce de fil rouge autour des portions de fromage à tartiner ? Que "peut-être son grand-père, c'est le fumier qui a inventé la clef qui casse le bout des petites languettes des couvercles de sardines, en complicité avec le pourri qui met de l'huile jusqu'à ras bord des boîtes ?"
Et sinon, huhu, tes biscottes, tu ne les tartines pas des deux côtés ?

Tili a dit…

Une tartine, un feu, essayer de griller le fromage, recevoir les bonnes odeurs...
Hummmm que du délice.

Anonyme a dit…

Allumer un feu... Moi, j'aime quand il part bien, sans hésitations ni tergiversations, un vrai feu qui s'élance sans se faire prier. Mais c'est aussi beau quand, après avoir menacé de s'éteindre, il se décide enfin à flamber bellement.

Hélas, presque deux mois encore avant de retrouver ces plaisirs. Ne boudons pas pourtant le plaisir présent, celui de manger sur le ponton d'un lac, au soleil si doux et frais à la fois de l'automne hanoien. La plus belle saison, disent les gens d'ici.

Carpe diem!

Votre nom Alain Korkos a dit…

Fond rose avec étoiles vertes, c'est ça ? Arf ! Arf ! Arf ! J'en rigole d'avance et j'impatiente ferme ;-)

Tellinestory a dit…

Entre le feu flamboyant et le chétif, faut-il choisir? le premier gratifie chez nous notre adresse et notre science et le deuxième... notre patience? Notre compassion? (notre sens de l'économie? certainement pas, vu le souffle dépensé!)

@ alain : farpaitement! mais j'ai dit UN blog, pas CE blog! (pour ceux qui suivent pas, ça se passe chez Kozlika...)
@Meerkat : dans un monde parfait, l'inventeur de la petite ficelle rouge serait pendu avec et le remplisseur d'huile serait frit. Je e laisse rêver au supplice du promoteur de la petite clé qui casse.
Quant à tartiner des deux côtés... c'est une résolution radicale du problème de la tartine beurrée.

Anonyme a dit…

Je suis dans la journée flemme... je ne suis par parvnenue à lire tes interrogations en entier. Après le 5ème mot, de chaque, c'était deja trop de reflexion :)

(Ceci dit, maintenant, j'ai envie de chocolat au lait et de bisottes au beurre et à la confiture)

Anonyme a dit…

Je ne parviens pas non plus à aligner plus de 5 mots sans faire de fautes! (Soupir)