C'est vrai, vent contre courant, on avance peu. Des humains, j'en parlais dans mon billet "là bas si j'y suis". J'en rencontre ici aussi, contre vents et marées. Et ça remonte quand même, comme un coup de lambig, de ti-punch, de whisky. Ou des trois à la fois En attendant que la marée change. Bises
Juste un petit mot. Parce tard. Parce que écrit pas vite. Parce que pense pas vite. Non, ça tu barres. Comment tu mets le doigt sur l'essentiel "on a d'abord à entendre". C'est bien la dernière chose qu'on fasse avec les parents pas dans le droit fil, comme avec leurs enfants...
Je crois aussi à l'absolue nécessité de ce que vous faites, et suis estomaquée de lire qu,il voous faut vous occupper de «8000 élèves répartis en quarante et un établissements.»
Tout cela est révoltant. La souffrance de ces enfants pèse bien peu dans la balance des décisions gouvernementales puisqu'ils ne sont pas électeurs.
Et que dire de l'inertie administrative, de l'incurie des gestionnaires, des blocages idéologiques qui réduisent à néant les efforts de tant d'intervenants. «Travailler avec les familles, soit, mais pas travailler avec les familles à apprendre à travailler avec les familles.» En effet, quelle perte de temps quand il y a tant de problèmes si graves et urgents.
Chapeau de travailler dans de telles conditions, et avec un tel sentiment d'impuissance!
La prévention intelligemment pensé, à long terme avec tous le acteurs et non pas reposant que sur des bénévoles plein de bonne volonté mais pas armés ,ni formés aux problèmes qu'ils rencontrent . Des voix discordantes pour une harmonie de vie et de bien être ponctuel en espérant pouvoir faire mieux , plus longtemps , plus loin ,pour encore plus de monde. Qu'il est réconfortant de lire ce post . Il me viendrait à penser que ce genre de réunion sans les familles , sans aucune association représentative ressemble plus à un tribunal qu'à une réunion de travail . Faisant référence à mon vécu dans le monde du handicap je crois que c'est pire , ben ma bonne dame ils sont handicapés alors vous ne voudriez pas qu'ils causent en plus !. Allez au boulot Anita , il faut changer tout ça !
L'âne, Yves, Encre et Marianne, j'ai comme une envie, là tout de suite, de préparer un immense plat de spaghetti et de m'attabler avec vous, et de passer la nuit a parler de toussa...
5 commentaires:
C'est vrai, vent contre courant, on avance peu.
Des humains, j'en parlais dans mon billet "là bas si j'y suis". J'en rencontre ici aussi, contre vents et marées.
Et ça remonte quand même, comme un coup de lambig, de ti-punch, de whisky.
Ou des trois à la fois
En attendant que la marée change.
Bises
Juste un petit mot. Parce tard. Parce que écrit pas vite. Parce que pense pas vite. Non, ça tu barres.
Comment tu mets le doigt sur l'essentiel "on a d'abord à entendre". C'est bien la dernière chose qu'on fasse avec les parents pas dans le droit fil, comme avec leurs enfants...
Je crois aussi à l'absolue nécessité de ce que vous faites, et suis estomaquée de lire qu,il voous faut vous occupper de «8000 élèves répartis en quarante et un établissements.»
Tout cela est révoltant. La souffrance de ces enfants pèse bien peu dans la balance des décisions gouvernementales puisqu'ils ne sont pas électeurs.
Et que dire de l'inertie administrative, de l'incurie des gestionnaires, des blocages idéologiques qui réduisent à néant les efforts de tant d'intervenants. «Travailler avec les familles, soit, mais pas travailler avec les familles à apprendre à travailler avec les familles.» En effet, quelle perte de temps quand il y a tant de problèmes si graves et urgents.
Chapeau de travailler dans de telles conditions, et avec un tel sentiment d'impuissance!
La prévention intelligemment pensé, à long terme avec tous le acteurs et non pas reposant que sur des bénévoles plein de bonne volonté mais pas armés ,ni formés aux problèmes qu'ils rencontrent .
Des voix discordantes pour une harmonie de vie et de bien être ponctuel en espérant pouvoir faire mieux , plus longtemps , plus loin ,pour encore plus de monde.
Qu'il est réconfortant de lire ce post .
Il me viendrait à penser que ce genre de réunion sans les familles , sans aucune association représentative ressemble plus à un tribunal qu'à une réunion de travail .
Faisant référence à mon vécu dans le monde du handicap je crois que c'est pire , ben ma bonne dame ils sont handicapés alors vous ne voudriez pas qu'ils causent
en plus !.
Allez au boulot Anita , il faut changer tout ça !
L'âne, Yves, Encre et Marianne, j'ai comme une envie, là tout de suite, de préparer un immense plat de spaghetti et de m'attabler avec vous, et de passer la nuit a parler de toussa...
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