Et pourquoi donc que j'irais pêcher une bête qui ne m'a rien fait?
15.8.07
Ce qui s'exténue
Ici, ou ailleurs quelque chose s'exténue. En mer, ce matin Un souffle puissant a lâché. Tenez bon, aimez loin, croisez vivants vos doigts à ceux des voisins.
11 commentaires:
Anonyme
a dit…
Il vaut mieux s'échouer, lasse, perdue et admirée sur une plage que de mourir dans un abyme sombre, désert de la blessures d'un harpon. Bel animal... Requiem in pace
En l'occurrence, d'après les premières constatations de la (charmante) biologiste sur place, il s'agit d'un rorqual jeune, pas très bien nourri. A suivre
J'aimerais me raconter que les baleines peuvent, seulement quand le moment est venu pour elles, se laisser doucement descendre vers les grands fonds où elles reposeront tranquilles. Qui sait, peut-être ? Ce que tu écris, Anita, me touche bien plus que je ne saurais le dire. Aimer loin, aimer grand, aimer vivants.
Meerkat: C'est éminemment réciproque. Il y a beaucoup dans ce que tu écris qui fait écho chez moi. J'ai de la peine, moi qui aurai tant voulu voir une baleine vivante...
Alors, Anita, si tu veux en voir une vivante, il faut vraiment que tu viennes au Québec, on peut aller en admirer, qui folâtrent en toute liberté dans le golf du St-Laurent... ça te consolera peut-être de la tristesse de celle-ci.
Les baleines comme tous les mammifères meurent de maladies cardiaques, de cancer, ou de faim. Une histoire possible pour ce jeune, une infection aux oreilles, la surdité, il perd son clan et va s'échouer épuisé sur une plage loin des sources d'alimentation.
On fera surement une autopsie, essaie de savoir svp.
Mais c' est la baleine échouée de la Torche .....tu la trouves chez moi aussi ...hélas ! Je découvre tes pages par l' intermédiaire de Fauvette ...je continue ma visite ici .....Bonne journée et, à bientôt ! Kénavo ....ar henta gwel !
11 commentaires:
Il vaut mieux s'échouer, lasse, perdue et admirée sur une plage que de mourir dans un abyme sombre, désert de la blessures d'un harpon.
Bel animal... Requiem in pace
En l'occurrence, d'après les premières constatations de la (charmante) biologiste sur place, il s'agit d'un rorqual jeune, pas très bien nourri.
A suivre
J'aimerais me raconter que les baleines peuvent, seulement quand le moment est venu pour elles, se laisser doucement descendre vers les grands fonds où elles reposeront tranquilles. Qui sait, peut-être ?
Ce que tu écris, Anita, me touche bien plus que je ne saurais le dire. Aimer loin, aimer grand, aimer vivants.
Meerkat: C'est éminemment réciproque. Il y a beaucoup dans ce que tu écris qui fait écho chez moi.
J'ai de la peine, moi qui aurai tant voulu voir une baleine vivante...
Je suis venu bercer mes mains par ici...
venuE : mes mains tellement bercées en oublient des lettres sur le clavier
Alors, Anita, si tu veux en voir une vivante, il faut vraiment que tu viennes au Québec, on peut aller en admirer, qui folâtrent en toute liberté dans le golf du St-Laurent... ça te consolera peut-être de la tristesse de celle-ci.
Les baleines comme tous les mammifères meurent de maladies cardiaques, de cancer, ou de faim. Une histoire possible pour ce jeune, une infection aux oreilles, la surdité, il perd son clan et va s'échouer épuisé sur une plage loin des sources d'alimentation.
On fera surement une autopsie, essaie de savoir svp.
@La bacchante: oui...
@Tassili : oh oui!
@Moukmouk : oui, bien sûr.
Bah... l'invitation est lancée, tu viens quand tu veux! :-))
Mais c' est la baleine échouée de la Torche .....tu la trouves chez moi aussi ...hélas !
Je découvre tes pages par l' intermédiaire de Fauvette ...je continue ma visite ici .....Bonne journée et, à bientôt !
Kénavo ....ar henta gwel !
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