Bien que je chante faux à faire rater une couvée de mésanges, j'ai la tête comme un juke-box. Littéralement, je pense en chanson comme d'autres en images. Au fond, il est assez heureux qu'un reste d'inhibition m'empêche de fredonner tout haut. Car on pourrait alors lire en moi comme à confesse.
Aujourd'hui, ayant vanté à un ami virtuel, plutôt enchevêtré dans des mouvements contradictoires avec un être aimé, la paix du jardin, c'est naturellement "Monsieur" de Fersen qui m'a entêté.
"Dans la paix de son jardin, il cultive ses roses
Monsieur est un assassin quand il est morose"
Et ma foi..
2 commentaires:
l'image de début de ce billet me questionne. C'est si facile que ça à mettre en place une couvée de mésanges ? :)
quand vous allâtes en Irlande, comment ne pas être stupéfait(e) les premières aubes, quand sur un quai désert, au tournant d'un chemin délaissé, on rencontre nombre dames d'un âge certain et bonhommes un peu cassés mais qui sifflent ou chantent sans complexe, s'annonçant de loin, un peu comme des cornes de brume déchirant des silences comme des ils déchireraient des pages devenues inutiles...
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