Fallait pas que.
Ben si. Rinafoute. J'ai fait ou pas fait comme je voulais aujourd'hui. Mangé des crêpes, réparé une fermeture en un éclair, commis une- petite- horreur écologique, donné mon avis, bâillé, toléré le chat qui pue grave, médit d'un prix Nobel (ah ouais! tant qu'à faire à dauber, autant bien choisir sa cible) et pensé du bien d'un confrère, écouté la pluie, fondé une secte avec l'ami Franck et torché à la va comme je t'épouse un post sur fallait pas que. Mais en 100 mots juste. Même en mode flemme, il faut savoir garder de la coquetterie.
6 commentaires:
Perso, j'ai un mal fou pour maintenir la règle des 100 mots… Une fois sur deux, ça dérape… Et ziiiip… (ça c'est le bruit du dépassement de mots dans une ligne droite avant le changement de paragraphe)
Faut-il aussi dans les commentaires s'imposer cette contrainte (et dois-je enlever le bruit et son explication ci-dessus) ? :-)
ah non Obni! laisse allez. ziiiiiip c'est une valse...
Les contraintes, ça n'est drôle que si on triche et qu'on s'en fout. Ou bien qu'on s'en fout pas dutout. Ou bien que.
Moi j'adore les contraintes, enfin celles-là, parce que pour ce qui est de suivre les traces toutes marquées dans la neige, pas d'accord !
Ce ne sont pas les 100 mots qui me posent problème (ma tendance naturelle serait d'en écrire moins). C'est plutôt la contrainte d'un sujet imposé pendant une durée aussi longue. Du coup, je fais ma mauvaise tête et zappe des consignes....
si ce n'est horriblement indiscret, quel prix Nobel ?
Un prix Nobel de médecine français, pionnier de la recherche contre le SIDA et qui semble en train de partir en vrille avec de fumeuses théories sur des émissions d'ondes électro-magnétiques émises par l'ADN de bactéries intestinales qui seraient responsables de l'autisme et de l'Alzheimer.
Mais pas des cors au pied.
Ces trucs-là, envoûtants et mysérieux, sont JAMAIS responsables des cors au pied.
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