30.8.10
Démissionner, ou ne pas démissionner
To quit , or not to quit : that is the question:
Whether 'tis nobler in the mind to accept
The assets and earnings of gorgeous fortune,
Or to take arms against a sea of troubles,
And by opposing end them? To die: to quit
no more...
Démissionner, ou ne pas démissionner
là est la question.
Y a-t-il plus de noblesse d'âme à accepter
les biens et les revenus de la merveilleuse fortune
ou bien à s’armer contre une mer de douleurs
et à l’arrêter par une révolte? Mourir.., démissionner,
rien de plus.
Les états d'âmes dramatiques de Kouchner, ici
Inscription à :
Publier les commentaires (Atom)
8 commentaires:
Quelle attitude minable, non mais sans déconner !... Ou tu pars ou tu te collabores et tu te tais, mais cet éffarouchement de chaisière, non, là, je pense que je vais tirer la chasse derrière lui.
Voui, hein, son petit côté "j'ai peur d'un scrupule comme d'une abeille..." Des tartes. Je crois que si Besson et lui était dans un bateau, c'est lui que je foutrais d'abord à l'eau. Que Maïmonide me pardonne.
Bravo !!! Mister S doit rigoler dans sa tombe ... Quelle justesse et concorde dans les propos !
C'est au cas où on le débarque de force, qu'il puisse dire "mais j'avais parlé de démission avant".
Vu comme sa veste est usée d'avoir été retournée, la prochaine fois il retournera sa culotte, ya plus que ça
Je t'aiderai à le mettre à l'eau. Et puis j'y flanquerai Besson.
Et on enverra des métis gitan-beurs sans papiers pour les repêcher. Juste pour les voir leur saisir la main.
On peut décider d'en rire. On peut décider de comprendre. Il n'est pas facile dans un cas (de conscience) pareil de prendre la bonne décision, car on ne saura si elle est bonne, que plus tard, en en voyant les répercussions, les conséquences... Démissionner aurait du panache, oui, évidemment, et puis cela dirait à la plèbe "regardez, moi j'ai des convictions et pour elles je me bats" mais pourtant, une fois parti, quel sera son pouvoir d'influence pour inverser la tendance ?
@Gicerilla: en genéral, mon premier geste est de souhaiter la bienvenue, le deuxième, d'aller sur le blog éventuel. Passant chez vous, je reste perplexe devant votre commentaire. Voyez-vous, quand Kouchner, juste avant d'exprimer ses états d'âmes déclare "«Jamais le président de la République n'a stigmatisé une minorité en fonction de son origine», ce n'est pas un commentaire candide, c'est juste un commentaire très bien payé.
Je ne peux, à la lecture de votre blog, vous soupçonner d'être ni l'un ni l'autre.
Quelle est, à votre avis l'influence, de Kouchner ssur la politique actuelle? A mon humble avis, elle me paraît aussi décisive que les déclarations du président sur les mœurs du loup.
Enregistrer un commentaire