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La plage, dimanche soir à 22h30
(Chaque fois que je pars, je mesure mon bonheur. Je ne vais plus là bas, je reviens ici. Chaque voyage est un rezzou qui me ramène, avec fortune, à ce bord de mer. J'ai eu toute la plage ce soir là, pour y déposer mes singuliers coquillages.)
5 commentaires:
Me fait penser que j'ai un galet à rendre à la mer.
J'y laisserai mon ombre aussi sur le sable.
J'aime beaucoup cette idée d'un endroit où on ne va pas, où on revient. Ca me fait penser à celui où je vais revenir, dans quelques semaines (une autre mer...).
Merci, merci Anita...
(Dis-donc, t'aurais pas un fiancé pour moi, dans ton sud, je viendrais volontiers vivre par là, moi...)
Surtout, qu'à Paris ces jours-ci, je hais la terre entière...
@Yves : les galets sont patients. Certains mettent des années à revenir. Mais ils sont tenaces.
@Anne: c'est laquelle, la tienne?
@Traou : Il faudrait que tu précises tes critères... Mais si tu hais, va vite à la mer, n'importe laquelle. Je ne connais aucune colère qui ne soit soluble dans la vague.
Toi tu es une vraie pote !
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