11.4.08

Juste avant.



Quand je roule
Je regarde les arbres
et je me dis que c'est un signe des temps
de mon temps qui passe
que d'aimer de plus en plus
leur ramure soulignée du printemps
et d'aimer de moins en moins
me mettre en colère

Toujours en avril
mes semelles sont plus légères

6 commentaires:

Anonyme a dit…

Dans les ramures que tu regardes, y-a-t-il des chats qui se frottent le museau ?

Anonyme a dit…

Bououh, l'anonyme ci dessus, c'est moi !

Anonyme a dit…

L'arbre en bois
Tu conduis
Faut choisir.

Anonyme a dit…

En avril, tu chausses tes semelles de vent.
Je te souhaite plein d'heureux bon temps
(euh oui, c'est pas terrible mais il est tôt pour un samedi)

Tellinestory a dit…

@Oxygène : un jaguar? ;-)
@Yves:c'est vrai. Un ver de bois, bonjour parfois les dégats.
@Meerkat : j'eusse aimé les lièvres de mai, mais je crains que ce ne soit difficile. soupir.

Anonyme a dit…

Qui sait alors : un de ces quatre, des tellines au Comptoir du Grand Large, ou des pommes bien arrosées à la Maison des Bois ? Et puis les lièvres courent librement par tous les chemins, en tous les temps, et c'est cela qui compte. Arrive toujours le bon moment où hop, on se réjouit le cœur à en voir un. Ou deux. :-)